La conclusion d’un contrat est le résultat d’une rencontre entre une offre et une acceptation. Des négociations sont possibles avant cette réunion.
En outre, la conclusion du contrat exige que 4 conditions essentielles soient valables.
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Plan de l'article
Conditions de validité d’un contrat : 4 principes
Pour être valide, chaque contrat doit exiger les conditions suivantes :
- Capacité de
- donner le consentement des parties
- contrat licite et un certain
- équilibre du contrat
Capacité de contracter
La capacité de contracter est le fait qu’une personne a des droits et peut exercer ses droits (adultes capables, mineurs émancipés, personnes morales dans leur but social).
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D’ autre part, il existe deux types de Handicap
- à former : dans ce cas, le but de cette incapacité de travail est de protéger l’incapacité de leurs propres faiblesses (jeune âge, déficience des capacités), l’incapacité de jouir : dans ce cas, au contraire, vous protégez
- la personne avec qui la personne qui a privé les droits veut complet.
Incapacité
Comment pouvez-vous exprimer vos droits en cas d’incapacité à exercer ?
Les mineurs non émancipés sont représentés par un administrateur légal (père, mère) ou par le juge des tutelles (en cas de décès ou de désintégration des parents).
Ainsi, la conclusion de contrats pour un mineur non émancipé a lieu :
- Les actes de la vie quotidienne ne peuvent être transmis que par desmineurs . Toutefois, ces actes ont une en attente de nullité lorsqu’il est fermé dans des conditions lesionnelles.
- Les actes de conservation, de gestion ou de fourniture de meubles doivent être fermés avecle consentement d’un administrateur légal ou d’un juge de tutelle . Si cette règle n’est pas respectée en cas de préjudice causé au mineur, l’acte est suspendu pour nullité.
- Les registres d’aliénation (à l’exclusion des biens d’usage normal) doivent être conclus avec l’accord desdeux administrateurs . En l’absence d’approbation des deux administrateurs, l’un des administrateurs peut demander l’approbation du juge de tutelle. Dans le cas où le représentant est le juge de tutelle , ce dernier doit recourir à l’approbation du conseil de famille. Si cette règle n’est pas respectée, l’intrigue est également invalide si elle est favorable pour le mineur.
- document sérieux de disposition (dans une liste de l’art. 389-5 du Code civil) comme la contribution d’un immeuble dans la société. Ces actions nécessitent le consentement d’un ou de deux administrateurs légaux le consentement du juge de tutelle. Dans le cas où le mineur est représenté par le juge des tutelles, ce dernier devra à nouveau recourir à l’approbation du conseil de famille.
Dans le cas d’un majeur incapable, ils seront représentés par :
- Professeurs : changements significatifs des facultés.
- Conservateurs : changements par rapport aux facultés inférieures. Le majeur dans ce cas peut effectuer des actions de la vie quotidienne et de l’administration. Toutefois, les dossiers de disposition doivent être remplis avec l’autorisation du conservateur.
NB : Il y a aussi le système pour Sauvegarde de la justice . Dans ce cas, la personne peut effectuer toutes les actions, mais ces actions peuvent être retirées en cas de blessure ou réduites en cas d’excès (prescription de 5 ans). Les Majors, dans lesquels la déficience de leurs capacités est très faible, peuvent être soumis à ce régime. Ce régime est également mis sur place pour les adultes qui attendent la tutelle ou la tutelle.
L’ accord des parties
Le consentement est l’une des conditions de validité d’un contrat. Ce contrat ne doit pas être défectueux. Cela signifie que l’entrepreneur ne doit pas être influencé par la violence, le dol ou l’erreur.
Dans certains cas,la loi n’exige aucune formalité , le simple échange de consentement suffit.
Dans d’autres situations, la loi peut exiger du formalisme . Le but de ce formalisme est :
- attirer l’attention des parties sur l’importance de la loi qui
- transmet des renseignements
- servir de preuve
- pour protéger les tiers contre l’adoption d’une loi
pour
Par exemple, ce formalisme est une condition préalable à la validité des contrats solennels (acte notarié, acte privé : contrat de formation).
Contractuel
Le contenu du contrat doit être sûr qu’il doitexister (au moment de la conclusion du contrat),déterminé et déterminé (bien identifié) ouidentifiable (comme la quantité et la qualité).
NB : Pour que le contrat devienne invalide en cas d’impossibilité, cette impossibilité doit être absolue, c’est-à-dire qu’elle empêche tout le monde de l’exécuter non seulement pour le débiteur.
Exemple : Un menuisier qui n’a pas assez de planche pour créer un Finir le meuble à temps est ici en cas d’impossibilité relative et non absolue, car un autre menuisier aurait pu accomplir cette mission.
Le contrat n’a pas de nullité. Toutefois, la responsabilité contractuelle du charpentier sera engagée en cas d’inexécution.
Contrat législatif
Le contrat doit être légal. Il est donc nécessaire de vérifier la légalité du contenu du contrat, ainsi que la légalité de l’objet du contrat.
Pour que le contenu soit licite , l’objectif de l’obligation doit être conforme à la loi (élément commercial) et respecter les libertés fondamentales (l’interdiction du mariage est illégale). S’il s’agit d’une question de commerce (propriété publique, armes de guerre), son contenu est illégal.
Un contrat peut contenir des obligations dont le contenu est licite et l’acte d’un contrat. but illégal est toujours invalide.
L’ objectif doit être conforme à l’ordre public et aux bonnes mœurs.
Par exemple : un comptable acquiert un fonds d’entreprise (société d’audit). Le contenu n’est pas illégal. Cependant, si ce dernier n’est pas accrédité par ordre des comptables, il ne sera pas en mesure d’effectuer cette activité indépendamment. Son objectif est donc contraire à l’ordre public.
Solde contractuel
L’ équilibre des services entre entrepreneurs ne constitue pas un motif de nullité, sauf disposition contraire de la loi. La loi prévoit autre chose pour protéger les parties, car elles peuvent ne pas être en mesure de négocier réellement dans certaines situations.
La lésion
Il s’agit d’un préjudice que l’un des entrepreneurs soit causé par l’un des contractants en raison du déséquilibre entre les et a reçu des services.
Le préjudice ne peut conduire à une repondération ou à une invalidité que dans certains cas : aides maritimes, droit de transfert à l’exploitation d’une œuvre, allocations de crédit, baux ruraux, déséquilibre important du prix d’un immeuble (